Je lisais hier sur une page du livre de la face – comprendre Facebook – une amie parce qu’on en a plusieurs de cela quand on navigue là-dessus, avait écrit sur sa page qu’elle était québécoise de souche et qu’elle souhaitait une bonne St-Jean à tous.
C’est un peu dommage d’affirmer sa fierté de cette façon. Enfin, je le pense. En pensant à tout ceci avant d’entreprendre mon épopée sur le clavier à ce propos, je me suis même permis de demander l’avis d’une collègue blogueuse à ce propos. C’est peut-être délicat comme sujet. Comme elle m’a affirmé d’un ton des plus déterminés qu’on était dans un monde libre et qu’on pouvait écrire ce que bon nous semble et de plus, que le monde – qu’il en soit ou non – est aussi libre de le lire, de l’approuver ou non s’il le désire ou non. Partant de là, je me permets donc…
La St-Jean…
Les souvenirs de ma jeunesse à propos de cette fête se résument à des beuveries – n’ayons pas peur des mots, c’est la St-Jean après tout – qui se terminaient sur les lieux de travail le lendemain. Tout ce qu’il y a de plus normal au Lac-St-Jean dans le temps. Je ne crois pourtant pas que la situation ait changé depuis. Dans le temps, on était jeune et fou et les lendemains de veille n’étaient pas trop ardus. Après une couple de jours, on oubliait et on recommençait. C’était simple comme cela. J’imagine bien que la jeunesse d’aujourd’hui nous imite encore, mais bon, je n’y suis plus vraiment pour vérifier. Est-ce un peu triste? Non pas du tout. C’est comme cela la vie. On passe au suivant comme on dit. Ce soir, je vais probablement célébrer le congé, avec une bière à la main mais il y en aura beaucoup moins de consommées qu’il y a 20 ou 30 ans. Déjà dans mon temps la fibre nationaliste était plus que présente pour nous rappeler que c’était la fête des Québécois qu’on célébrait ce jour-là. La question est maintenant de savoir qui est un québécois et qui ne l’est pas. Je pense être un peu québécois pour être né dans la province. Est-ce qu’une personne née ailleurs peut se considérer québécoise. Je pense que oui, sous certaines réserves. L’autre question d’actualité est à savoir s’il faut parler français pour être québécois? Je ne sais pas. Dans mon livre à moi comme dirait Stan, il y a des anglais ben plus québécois que certains français. Mais bon, ce n’est que mon opinion.
Moi je dis qu’il faut prendre le congé pour le congé qu’il est et non pour l’idée, c’est plus simple. Si on se disait cette année que le 24, on fête le début de l’été et que le 1er c’est pour les déménagements. Je trouve ça bon.
Fête à Marilou
On a fêté un peu la fête de notre petite dernière en avance en fin de semaine. Vendredi, nous sommes allés, Chantal et moi, faire un tour dans la classe de Marilou en après-midi avec des carrés au Rice Krispies en forme de rond montés sur des bâtons de PopSicle avec un peu trempés dans le chocolat blanc pis des ti-bonbons dessus. C’était très beau et bien bon, je pense puisque je n’ai pu vérifier par moi-même puisque les gloutons présents se sont garrochés là-dessus comme la misère sur le pauvre monde, comme qu’on dit dedans la vraie vie. Samedi, pour poursuivre dans la même veine, Marilou avait invité quelques amies pour un party de Barbie, accompagné de fabrication de brochettes de bonbons et d’autres cossins du genre que les 6 ans aiment généralement beaucoup.
Sur ce, je m’en vais à la bière, raisonnablement, soit dit en passant.
Alain
mardi 23 juin 2009
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1 commentaire:
Ok Sérieusement y'aurait vraiemnt pas fallu que tu écrive ça là-dessus!!! Làlà.... Va falloir demander à Chantal qu'à nous fasse des carré aux rice Krispies trempé dans le chocolat aik des bonbons dessus pour le monde du bureau là!! (En-t-k au moins moi) Fo j'vois si sont bons pour de vrai tsé, c'est juste pour ça!
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