mercredi 6 août 2008

La journée champêtre

Samedi dernier avait lieu tel que déjà mentionné sur ces ondes la enième édition de la journée champêtre de retrouvailles de la famille de ma blonde dont je tairai le nom question de droits et libertés.


Ma mémoire

Je parle de la enième édition pusique je n’ai aucune idée depuis combien de générations l’événement a lieu exactement. Pour ma part, j’en suis rendu à je ne sais pas plus combien puisque je me souviens que l’an dernier l’évenement fut annulé. Quand on verra les statistiques de l’événement trainer quelque part dans un journal quelconque, à l’année 2007, il y aura un astérisque pour mentionner que l’événement n’a pas eu lieu et on ne pourra dire que c’était à cause d’une guerre mondiale, d’un cholérat ou même d’un lock-out. Non, je ne sais pas ce que le typographe inscrira à côté de l’astérisque. Pour ce qui est des années précédentes, je retiendrai particulièrement la première édition où j’étais passé en Canada et que ça ne faisait que quelques semaines que ma Chantal et moi-même nous fréquentions. Ça n’avait pas été facile si ma mémoire est bonne.

Parlant de ma mémoire, je vous demanderais d’être clément à son égard puisque l’expression qui dit que la mémoire est une faculté qui oublie s’applique très bien à la mienne. J’aurais voulu transmettre mes pensées de cette si belle journée en revenant samedi soir mais le courage m’a abandonné à peu près à la hauteur de Rigaud. Dimanche, j’avais déjà une douche de prévue à l’horaire sur les allées du parcours de Rawdon. Je suis rentré vers 20h00. Le niveau de motivation ne s’était toujours pas amélioré depuis Rigaud. Retour au travail dès lundi matin après des vacances, disons humides. Comme on était parents orphelins pour la semaine, on a décidé d’aller aux ptites vues lundi soir. Hier soir, je n’avais ma foi aucune raison valable si ce n’est ma visite obligatoire chez mon ostéopathe. Je trouve cela chic de consulter un ostéopathe. En plus, ça me fait du bien! Je n’irai pas dans le détail puisque je l’ai déjà fait ici en détail.

Me voici donc rendu à mercredi et comme les courriels ne cessent de réclamer ce fait, me voici.


Plein de générations

Une belle brochette d’invités s’était donc donné rendez-vous samedi passé à Gatineau. Plusieurs générations en fait. Si on parlait de la première! Elle était principalement concentré au balcon telle la royauté lors d’un défilé. À part grand-maman Yvette comme l’appelle si gentiment ma 5 ans de fille, il y avait aussi trois autres membres de cette génération dont les noms m’échappent mais qui étaient frères et soeurs. En passant Paul, je ne t’avais pas inclus dans cette catégorie même on a pu t’y rencontrer à maintes reprises.

En ce qui a trait à la génération suivante, elle était aussi très bien représenté par, et je ne les nomme pas dans l’ordre puisque je ne suis même pas capable de nommer les frères et soeurs de mon père dans le bon ordre. Carole et René qui nous accueillaient, Jocelyne et Réjean, mes beaux-parents favoris, Lucie et Jean-Pierre (le ptit dernier), Diane et Claude qui sont souvent sur un lac, probablement en compagnie d’Hélène et Paul. Peut-être pas mais d’après ce que j’ai entendu, ils se tiennent aux mêmes places, soit sur l’eau à taquiner les poissons. Ils y en avait aussi de d’autres familles comme genre les monette, Madeleine et Gilles, lui-même joueur de golf invétéré du sud de la Floride lors des longs mois d’hiver. Il y en avait aussi d’autres...

C’est à partir de la génération suivante que ma mémoire commence à me faire défaut. Je vais tenter quelque chose. Isabelle et Nicolas que je pensais être son frère mais qui ne pouvait l’être étant pris pour affaires ailleurs dans les Iles (pas de Boucherville) revenaient justement de la Grèce, pas le cholestérol mais bien le pays. Ils semblaient ravis de leur séjour là-bas. Sonia et Louis semblaient aussi en grande forme. En tout cas, avec tout ce que Sonia ou Louis m’ont raconté... Cynthia était accompagné d’un autre ptit nouveau (au moins un par génération) qui disait s’appeler Bjorn! J’espère qu’il l’écrit ainsi mais comme il n’y pas de fautes dans les noms propres et que je suis très bien placé pour en parler, on n’en fera pas de cas. Toujours est-il que Bjorn alias Benoit n’aurait aucun lien de parenté avec Mats Sundin. Moi qui croyait pouvoir rencontré quelqu’un en mesure d’influencer la vedette suédoise dans son idée de relancer sa carrière ailleurs qu’à Montréal. Il n’a même jamais vu la Scandinavie. La scandinavie pour ceux qui ne le savent pas n’est pas une extension de l’Abitibi mais bien des pays du nord de l’Europe. Il a plutôt grandi à Verchères. Oui oui, comme dans Madeleine mais pas de Monette mais de Verchères.

Roselyne et Pierre se sont aussi finalement rendus après un périple n’en finissant plus à l’est de la rivière des outaouais. Ils étaient accompagnés de leurs deux filles qui sont probablement les plus jeunes personnes présentes. La ptite dernière, Angélyne, étant elle aussi considérée comme la plusse nouvelle dans sa génération et dans la famille itoo. Caroline et Éric mon beauf, avec la tribu comme on les appelle très affectueusement chez nous se sont aussi pointés le bout du nez. Ah oui, ma blonde Chantal et moi y étions aussi. Il y en avait d’autres aussi...

Pour me remémorer les membres de la génération, je vais jeter un coup d’oeil dans la piscine. J’y vais comme je les vois. Félix, François, Thomas, Alexa, Sarah-Rose, Émilie, Kim, William, Olivia, Charlyne, Marilou. Je pense qu’il y en avait d’autres...

Dans le carnet

Fait à noter : j’ai danser pendant une toune avec matante Carole. Ne me demandez surtout pas ce que c’était comme danse puisque mes connaissances en la matière sont aussi bonnes que mes talents pour l’effectuer. J’ai aussi entendu des jokes de blondes. Je veux dire des anecdotes compter par des blondes. Il y en avait, aux yeux bleus et aux yeux bruns. Il y en a même une qui a parlé de danse privée à un moment donné, c’est tout dire.

En terminant, laissez moi exprimer quelques doutes à propos de la vie parallèle de matante Carole. Même si elle m’a dit que des religieuses ont fait des prières pour la température de la journée, il est quand même tombé quelques gouttes. À peine quelques gouttes si on les compare au déluge tombé au même moment dans l’est de Montréal.

Une chance que ma blonde m’a « crinqué » un peu la mémoire parce que, vraiment la mienne ne s’améliore pas. Voici donc pour ce spécial familial sur ce blog. J’y sévit sur une base assez régulière à propos de mes voyages et spécialement de tout et de rien. Pour vous y rendre sans aucune obligation de votre part et je vous garantie qu’aucun agent ne passera chez vous, vous n’avez qu’à vous rendre au : albal.blogspot.com

Tous les détails s’y trouvent.

À une prochaine, peut-être!

Alain dit le co-loc à Chantal

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