Il y a un an de cela, j’avais offert à ma blonde pour sa fête de lui repeindre son atelier. Elle avait accepté avec plaisir, surtout que je lui comme donné un genre de « Rain Check » qui lui permettait de profiter de l’offre pendant un an. Il faut savoir que son atelier est un vrai foutoir. Oups! Fallait probablement pas que je mentionne ce détail mais disons que le contenu de cet atelier pourrait amplement faire l’affaire pour une pièce trois fois grande comme la sienne. Alors…
Toujours est-il que le mois dernier, tellement bon gars que je suis, je lui ai rappelé que le fameux « Rain Check » achevait tranquillement et que l’occasion ne se répèterait peut-être pas. Juste assez de pression pour qu’elle se décide à vider le tout pour que je puisse m’exprimer armé de mon pinceau et de mon rouleau. Je peux d’ores et déjà affirmer que je n’aime toujours pas peinturer. Ce n’est pas vraiment que je n’étais pas certain de mes sentiments envers ce sport mais à chaque fois que je tente un rapprochement avec lesdits outils, ça me rappelle combien je n’aime pas tellement cette activité.
Ça fait qu’aujourd’hui, je roulais tranquillement le mur en « bleu audacieux » quand j’ai soudainement eu une idée. Non mais « bleu audacieux », c’est beau, non? Je trouve que les noms de couleur de peinture sont tellement … bleu audacieux que j’y perds mon latin.
Ah oui! L’idée que j’ai eue. Faudrait bien que j’en parler un peu parce que je crois que je tiens un filon intéressant.
L’automne dernier, il n’y avait pas grand monde à part moi et un ou deux illuminés qui croyaient aux chances de nos glorieux d’aller bien loin au printemps. Aujourd’hui, le même monde se demande à grands coups de « je le savais bien qu’ils iraient loin » ce qu’il peut bien y avoir dans le gruau des guerriers de Carbo. Je crois avoir compris la recette utilisée. Imaginez un peu le subterfuge auquel j’ai songé.
Bob et Carbo se lancent donc dans une opération « charme » auprès des conjointes des guerriers bleu-blanc-rouge du palet et de la rondelle l’été dernier. L’idée saugrenue est finalement assez simple. Ils leur suggèrent donc, moyennant un léger supplément, de faire pression auprès de leurs hommes pour une demande particulière. Ladite demande est que la peinture de la demeure familiale étant tellement défraîchi qu’il sera essentiel au printemps de refaire le travail au printemps, disons en avril. Parallèlement, mettons vers le début du camp d’entrainement, Gainey promet à tous ses guerriers de leur payer un peintre s’ils font les séries. L’idée fait tranquillement son chemin et le succès se matérialise petit à petit. La morale de l’histoire est probablement que les joueurs de hockey professionnels apprécient autant que moi de jouer à l’artiste… peintre. Je le savais qu’on était pareils eux et moi! Après les bonis de signature, voici maintenant ce qui se fait de plus « hot » chez nos millionnaires du sport, le boni à la peinture. Il s’agissait simplement d’y penser. Sacré Bob, va! Un génie, et visionnaire en plus.
vendredi 21 mars 2008
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3 commentaires:
J'avoue que l'idée est bonne... ou il pourrait suggérer un boni rénovation du sous-sol, tsé quelque chose qui les motiveraient à rester le plus longtemps sur la glace ;)
J'ai hâte de voir ce bel atelier bleu audacieux moi là! Mais chui un peu déçue que vous n'ayez pas choisi bleu royal.....
Ah ben moi aussi j'achète du bleu audacieux!
Ah ben moi aussi j'achète du bleu audacieux!
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