jeudi 28 février 2008

Bord de mer

Aujourd’hui au programme : de la beach. Pas n’importe quelle beach par zemple. À 6 milles d’où nous sommes, il y a Laguna Beach. Pour les plus jeunes, 6 milles, c’est environ 10 km. Peut-être 9 finalement, on ne s’en formalisera pas. Les amérécains ont gardé le système anglais dans leurs mesures. Faut dire qu’ils parlent encore anglais, ça peut expliquer en partie leur décision de conserver ce système.

Dans les plans, il n’était absolument pas question d’oublier de se saucer le gros orteil à tout le moins dans l’océan Pacifique. Voilà! C’est fait. Un autre objectif vient d’être atteint dans l’actuelle vie que nous menons.

Nous nous sommes donc dirigés vers Laguna cet après-midi. Il n’y avait pas foule. Faut dire que les Californiens ainsi que toutes les autres races présentes ici et alentour recherchent plutôt de la chaleur lorsque c’est le temps de se faire « toaster » sur la plage. Quand je parlais du gros orteil précédemment, j’exagérais à peine. Plus que cela ce serait un peu maso. Précisons immédiatement que malgré le fait notre 4 ans ne soit pas le moins du monde maso, elle a quand même réussi à se mouiller de la tête aux pieds même si elle ne le voulait pas réellement. À l’occasion, il y a des mouvements qu’on ne veut pas vraiment faire mais sur le bord la plage, les mouvements sont parfois un peu dérangé par le déplacement de l’eau qui ne cesse finalement jamais. Ça fait que… elle est finalement tombée en pleine face dedans.

Pendant ce temps sur la plage, les rares promeneurs étaient soit des joggeurs, des chiens qui tiraient sur leurs maîtres ainsi que quelques maillots qui se faisait des « acroires » comme on dit. À 15 degrés c’est intéressant tant que Galarneau se pointe le nez pour nous accompagner. À un moment donné, il nous a quittés. Résultat : pas chaud pour la pompe à l’eau. Disons que la température aurait été beaucoup plus intéressante hier pour ce genre d’activité. Nous avons encore quelques jours pour se reprendre.

Je vous parlais de coucher de soleil il y a une couple de jours. Voici donc un exemple de ce que j’ai vu au bout de ma lentille. Une vraie carte d'assurance-maladie!




À la revoyure,

Alain

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